On ne rigole plus. Sus à l'amateurisme. Ces mots d'ordre qui président à la grande lessive du football français (qui, naturellement, lave plus blanc que Blanc) sont aussi d'actualité pour le concours. Après l'échauffement du 1er tour, place à la haute compétition où la moindre erreur se paie cash.
Vidéo et débats
Le football du futur n'a pas la tête que vous croyez. Alors que les appels à la fée technologie se multiplient, le centre de prospective footballistique (créé et autosaisi pour l'occasion) se penche sur la question. L'arbitrage sera t-il effectué par une armée de drones miniatures promenant leurs yeux virtuels aux quatre coins du terrain ? Le ballon, évolution ultime du Jabulani, sera t-il équipé d'une tête chercheuse de lucarne ? Le révélateur de hors-jeu sera t-il matérialisé en temps réel par une barrière électromagnétique infranchissable (tout joueur étrangement seul de l'autre côté étant immédiatement désintégré) ? Les joueurs seront-ils équipés de logiciels d'aide à la décision pour choisir la meilleure option de jeu (avec possibilité de désactiver la fonction passe pour Ribéry ou Ronaldo) ? Toutes vos suggestions sont les bienvenues.
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Le peloton s'étire
Mais rien n'est fait, et les gros points sont maintenant en jeu. Avec 12 huitième de finalistes sur 16, Cooz reste le plus perspicace, sans pour autant créer de gros écarts. Il faiblit néanmoins au tournant des quarts de finale, où Pascal et Jean-Louis, grâce à l'Uruguay et au Ghana, sont mieux placés à l'entame du sprint final (6 équipes sur 8). Adrien conserve sa place sur le podium, rejoint par Juan-Carlos, mais les écarts restent faibles.
Rendez-vous lundi pour l'écrémage des demi-finales.
Les derniers matchs du 1er tour ont rendu leur verdict et figé le classement des poules. Pour tirer son épingle du jeu, il fallait adopter une tactique prudente et jouer le 0-0 (Jean et Karim pour Paraguay-NelleZélande, Charly et Julie pour Suisse-Honduras). Les points marqués pour la position des équipes dans leur poule illustre l'imprévisibilité de cette coupe du monde. Hormis pour les poules du Brésil et de l'Espagne, c'est grand désordre chez les parieurs, comme l'illustre le classement intermédiaire ci-dessous, qui sacre Cooz champion d'automne.
Mais rien n'est fait, et les gros points sont maintenant en jeu. Avec 12 huitième de finalistes sur 16, Cooz reste le plus perspicace, sans pour autant créer de gros écarts. Il faiblit néanmoins au tournant des quarts de finale, où Pascal et Jean-Louis, grâce à l'Uruguay et au Ghana, sont mieux placés à l'entame du sprint final (6 équipes sur 8). Adrien conserve sa place sur le podium, rejoint par Juan-Carlos, mais les écarts restent faibles.
Rendez-vous lundi pour l'écrémage des demi-finales.
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